Journée de ressourcement des accompagnants des familles en deuil

En deux journées, les mardi 5 et jeudi 7 novembre 2024, 180 personnes, membres des équipes d’accompagnement des familles en deuil du diocèse du Mans, se sont retrouvées pour une démarche de ressourcement à Solesmes, centrée sur la prière.

Commencée avec la messe à l’église abbatiale à 10h, la journée s’est poursuivie au pied de l’abbaye, sur le site de la Marbrerie, au bord de la Sarthe. Le matin, le père Arnauld, moine bénédictin, a mené les participants sur le chemin de la prière : en s’appuyant sur quelques prières emblématiques de l’Ancien Testament (Abraham, Moïse, Salomon, Tobie et Sara, …), le Père Arnauld a souligné l’attitude intérieure favorable à la prière.
Grâce aux exemples très réalistes tirés de son expérience personnelle de moine, l’exposé était simple, concret, et surtout convaincant et encourageant, telle sa conclusion : « Lorsqu’on reçoit une mission de l’Eglise, et qu’on l’accomplit dans la prière, on est assuré de recevoir la grâce pour l’accomplir. »

L’après-midi, en repartant de cette conclusion, le père François Cléret, prêtre diocésain attaché au service de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle, développa les différents types de prière évoqués le matin (oraison, chapelet, prière liturgique, prière d’adoration, de louange, de demande, …), en les mettant en relation avec les différentes facettes de la mission confiée aux accompagnants des familles en deuil.

Puis il invita les participants à prendre un temps, seuls ou par petits groupes, à partir de 3 propositions :

• Partage sur la prière dans notre vie de baptisé et au regard de la mission d’accompagnement des familles en deuil.
• Comment mieux prier le « Notre Père » ?
•  Vivre un temps de contemplation à partir d’un évangile.

Cette journée fut aussi l’occasion de remerciements adressés aux participants par le Père Benoit Pierre, vicaire général, puis par Isabelle Sureau, déléguée générale du diocèse, venus chacun vivre l’une des deux journées, et manifestement heureux d’avoir pu être présents aux échanges, riches et féconds, entre tous.